- Une figure insignifiante et nulle prit la parole. (Synecdoque)
- J’ai tremblé, comme si j’eusse pensé à autre chose depuis six heures, depuis six semaines, depuis six mois. (comparaison, anaphore, gradation)
- Lui, prolongeant son rire qui ressemblait à un râle. (comparaison)
- Cet atroce éloge m’a donné du courage. (oxymore)
- La camisole de force, une espèce de sac de toile à voilure, emprisonna mes bras. (Comparaison)
- C’est lui qui est bon et moi qui suis mauvais. (antithèse)
- L’intelligence doit abdiquer, le carcan du bagne la condamné à mort. (personnification)
- Ils m’ont bien gardé, et puis ils ont été polis à l’arrivée et au départ, ne dois-je pas être content. (antiphrase)
- La porte s’est ouverte avec la rapidité de l’éclaire. (hyperbole)
- Non, rien ! Moins qu’une minute, moins qu’une seconde, et la chose est faite. (anaphore, gradation)
- Le soleil, le printemps, les champs pleins de fleurs, les oiseaux qui s’éveillent le matin, les nuages, les arbres, la nature, la liberté, la vie, tout cela n’est plus à moi ! (énumération)
- On suppose qu’il y a de l’air et du jour dans cette boite de pierre. (métaphore)
- Ma grâce ! Ma grâce ! On me fera peut-être grâce. (répétition)
- Vêtus des mêmes vêtements pour le soleil à plomb de juillet et pour les froides pluies de novembre. (antithèse)
- Ce bruit sourd de cris que j’entends. (oxymore)
- Une mer de tètes sur la place. (hyperbole ; Synecdoque)
- Pas un regard dans l’œil, pas un accent dans la voix, pas un geste dans les mains. (anaphore)
- Les jours d’exécution, l’hôtel de ville vomit des gendarmes de toutes ses portes. (personnification)
- C’est monsieur le procureur général, lui ai-je répondu, qui a demandé si instamment ma tête ? bien de l’honneur pour moi qu’il m’écrive. (antiphrase)
- Je n’ai qu’une pensé, qu’une conviction, qu’une certitude : condamné à mort. (gradation)
- C’est du crayon, de la craie, du charbon, des lettres noires, blanches, grises. (énumération)
- On eut dit des âmes en peine aux soupiraux du purgatoire qui donnent sur l’enfer. (comparaison)
- Le pourvoi, c’est une corde qui vous tient au-dessus de l’abîme. (métaphore)
- Ainsi après ma mort, trois femmes, sans fils, sans mari, sans père ; trois orphelines de différentes espèces ; trois veuves du fait de la loi. (anaphore)
- Avant de m’ensevelir dans cette tombe à deux roues, j’ai jeté un regard dans la cour. (métaphore)
- Ma belle enfance, ma belle jeunesse, étoffe dorée dont l’extrémité est sanglante. (métaphore)
- Je me promenais sous les larges bras des marronniers. (personnification)
- Il est aussi haut que tu es bas. (antithèse ; Comparaison)
- Moi, j’étais là, comme une pierre qu’il mesurait. (comparaison)
- Je suis plus vieux que vous .Chaque quart d’heure qui s’écoule me vieillit d’une année. (Comparaison ; Hyperbole)
- Entre alors et à présent, il y a une rivière de sang, le sang de l’autre et le mien. (Hyperbole)
- -je vis les coups de bâton pleuvoir au hasard sur les épaules ou sur les têtes. (Hyperbole)
- C’est comme si le couteau de la guillotine mettait six semaines à tomber. (comparaison)
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